9 juin 2005
ode à messire galouzeau de villepin
Messire Villepin, notre seigneur et maître,
Peu ne croyez que nous allons nous laisser mettre.
35 longues minutes à l’ANPE
Qu’y avez vous appris ? Qu’il y avait des gueux ?
Des gens diminués, amers, patibulaires,
Trop pauvres pour l’impôt qui fait votre salaire.
Mais ils ont pu voter, et recommenceront ;
Ecoutez les plutôt, et gardez vos leçons.
Rien n’y fera, ni vos discours, ni votre allure
Celui qui ment au peuple signe une forfaiture michel monjaux
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