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Rénover le Parti socialiste dans les Hauts-de-Seine

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Rénover le Parti socialiste dans les Hauts-de-Seine
10 février 2006

Tous à Saint-Denis le 18 février !

Premier rassemblement national Rénover Maintenant.

Programme ci-joint :Avoir_30_ans___programme_N_B_1_.pdf

Plan d'accès :planaccesacademie

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6 février 2006

12 février : Arnaud Montebourg sur France 5 dans "Arrêt sur images"

Après sa participation à l’émission "Vendredi pétantes" sur Canal+ le vendredi 27 dernier qui a laissé quelques traces ... Arnaud Montebourg participe à l’émission "Arrêt sur images" de Daniel Schneidermann sur France 5. Cette émission décortique avec une réelle distance critique le travail de la télévision. Nul doute que la rencontre entre Daniel Schneidermann et Arnaud Montebourg sera forte.

L’émission est diffusée le Dimanche 12 février à 12h35.

En savoir plus : le site de l’émission.

2 février 2006

Rénover Maintenant 92 est né !

Une centaine d’adhérents et de sympathisants socialistes

rejoignent l’association « Rénover Maintenant » d’Arnaud Montebourg

Mercredi 1er février à Colombes, les adhérents de feu "NPS 92" se sont réunis pour transformer leur association départementale en « Rénover Maintenant 92 ».

L’association départementale RM 92 regroupera toutes les personnes qui
souhaitent que le Parti Socialiste se rénove en profondeur, tant dans son
fonctionnement que dans son projet politique. Elle a vocation à rassembler
des adhérents, mais aussi des personnes non-adhérentes du Parti socialiste
dans les Hauts-de-Seine. Alexis BACHELAY a été élu comme président de la
nouvelle association par l’assemblée générale. Il était précédemment
président du NPS 92.

Pour battre la droite en 2007, le Parti socialiste a besoin d’idées nouvelles
et de propositions audacieuses. Dans cette perspective, « Rénover
Maintenant » apportera sa contribution à l’élaboration du projet socialiste
et prendra toute sa place lors de la désignation du ou de la candidate à
l’élection présidentielle de 2007.

Contact : renovermaintenant92@yahoo.fr

2 février 2006

Ah les places....

285 dirigeants à la tête du PS : un record

par Didier HASSOUX
QUOTIDIEN : jeudi 02 février 2006

C'est sans doute le prix de la synthèse. Jamais, dans l'histoire du parti d'Epinay, la direction du PS n'a connu autant de dirigeants : 285 ! A tel point que la rue de Solférino a dû publier, hier, avec la livraison de l'Hebdo du PS, destiné aux militants, un «tiré à part». Quatre pages qui recensent les secrétaires nationaux et leurs adjoints, les délégués nationaux et les «responsables nationaux de rattachement». Les premiers ­ 47 ­ forment le «gouvernement» de François Hollande. Ils n'étaient «que» 25 après le congrès de Dijon (mai 2003). Tous les autres sont censés aider les premiers. On dénombrait 21 délégués nationaux après Dijon. Six semaines après le congrès du Mans, ils sont 34. Une augmentation moyenne de plus 60 %. Une inflation due à la synthèse du congrès du Mans. Chaque courant ­ sauf celui de Montebourg, Rénover maintenant ­ étant censé cogérer le PS, il a fallu trouver une place aux amis des uns et des autres. A tel point que les bureaux de la rue de Solférino se sont montrés exigus. Un temps, il a même été envisagé de demander aux salariés permanents du PS de ne plus venir travailler les mardis et mercredis, jours de forte affluence au PS. Certains dirigeants ont manoeuvré comme des filous pour être certains de disposer du meilleur bureau au meilleur endroit... Mais parfois la synthèse a bon dos. A consulter la liste des attributions des uns et des autres, le lecteur du supplément de l'Hebdo peut légitimement se demander si tout cela est bien raisonnable. Le PS a-t-il vraiment besoin de 5 responsables à différents degrés de la lutte contre les discriminations, 4 autres pour la Francophonie, une chargée des «débats intellectuels», une autre déléguée aux relations bilatérales franco-italiennes, etc. ? Aux dernières nouvelles ce «gouvernement Hollande» n'est pas au complet. Victorin Lurel, secrétaire national à l'Outre-Mer, n'a pas encore nommé tous ses délégués nationaux...

26 janvier 2006

Arnaud Montebourg viendra défendre la 6 ème République et parler du nouveau courant "rénover maintenant" sur le plateau de "Vend

Arnaud Montebourg viendra défendre la 6 ème République et parler du nouveau courant "rénover maintenant" sur le plateau de "Vendredi Pétantes" sur Canal+ le vendredi 27 janvier en direct. Emission en direct de 19h10 à 20h50.

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26 janvier 2006

La sombre affaire Mayetic : entre rumeurs et désinformation

mercredi 25 janvier 2006, 18h00

La sombre affaire Mayetic : entre rumeurs et désinformation

Par Ollivier Gilles, sa biographie

Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole.

J'ai rencontré hier matin au Press Club de Paris, Bruno de Beauregard et Miguel Membrado, les deux ex-fondateurs de Mayetic, start'up française créée en 1996, spécialisée dans le travail collaboratif en ligne qui vient d'être liquidée dans des conditions assez incroyables. Elle avait réussi l'exploit, rare en France, de rivaliser avec Microsoft, IBM et Documentum et fournir des solutions d'entreprises à des grands groupes français et étrangers.

A la suite d'une sombre affaire de diffamation impliquant Bruno de Beauregard et le député-maire d'Asnières Manuel Aeschlimann, Mayetic perd brutalement son principal actionnaire, la Caisse de dépôts et consignations. Tout s'enchaîne rapidement : dépôt de bilan au mois de novembre 2005, liquidation judiciaire en décembre, 23 salariés licenciés et un repreneur désigné ce mardi 24 janvier (voir cet article).

Miguel Membrado et Bruno de Beauregard étaient encore sous le choc, se demandant comment une association de quartier en opposition avec un maire sur une ZAC (zone d'aménagement concertée) peut-elle être accusée de couvrir une secte, et pourquoi un procès en diffamation peut faire couler une entreprise de dix ans ?

C'est Bruno de Beauregard qui parle : "Cette histoire très compliquée a démarré en septembre 2003 par le refus de concertation du député-maire UMP d'Asnières avec l'association de quartier dont je suis le président, sur l'aménagement de la ZAC Métro à Asnières". Le maire d'Asnières aurait fait croire que l'association de la ZAC Métro était le paravent d'une prétendue secte, la fondation Ostad Elâhi, pourtant reconnue d'utilité publique et dont la présidente d'honneur est Madame Bernadette Chirac !!! En outre, le nom de cette fondation est celle d'une famille iranienne persécutée par le régime de la république islamique d'Iran alors que le directeur de cabinet du député-maire d'Asnières Ramine (Francis) Pourbagher est lui aussi iranien et serait très proche du régime actuel.

L'association de la ZAC Métro et la fondation Ostad Elâhi ont attaqué la mairie en diffamation. La mairie a perdu en première instance, les jugements en appel des trois procès lancés sont attendus le 25 janvier. Pour faire bon poids, le directeur de cabinet du député-maire a fait croire qu'un membre de l'association de la ZAC Métro qui distribuait des tracts, avait tenté de l'écraser avec sa voiture. Mis en examen pour dénonciation calomnieuse, le directeur de cabinet attend son procès devant le tribunal correctionnel de Nanterre (92).

Et les rapports de la DCRG (Direction Centrale des Renseignements Généraux) ou de la DST (la Direction de surveillance du territoire) déconseillant aux organisations gouvernementales de faire appel à la société Mayetic en raison des liens de Bruno de Beauregard, son Président, avec la fondation Ostad Elâhi ? (voir le Monde du 22/01/05). Des faux selon Bruno de Beauregard, "s'il est vrai que j'ai infiltré la direction générale des impôts, la Gendarmerie Nationale et l'OTAN, alors que l'on me passe immédiatement les menottes et que l'on me mette en prison !"

Et maintenant qu'allez-vous faire ? "Immigrer aux Etats-Unis pour créer une autre entreprise, les entrepreneurs sont mal vus en France".

Pour en savoir plus:

Devenez vous aussi un reporter d'AgoraVox en

20 janvier 2006

Montebourg : la droite veut profiter d'Outreau pour mettre au pas les juges

Montebourg: la droite veut profiter d'Outreau pour mettre au pas les juges

PARIS (AFP) - Arnaud Montebourg (PS) considère que la commission d'enquête parlementaire sur l'affaire d'Outreau est "disqualifiée" et redoute l'utilisation de cette affaire par la droite pour imposer "la mise au pas" des juges d'instruction.

Dans une tribune publiée jeudi par Libération, le député PS de Sâone-et-Loire met en cause "l'impartialité" de certains des trente membres de la commission et regrette la participation des socialistes. Selon lui, "ils n'ont pas grand-chose à faire dans cette commission, à moins de risquer eux-mêmes de se déjuger".

Il s'interroge aussi sur "l'objectif inavoué" de l'enquête parlementaire, qui est, selon lui, de "profiter du drame d'Outreau pour faire passer des réformes inavouables qui sommeillent dans les cartons de la chancellerie".

Si "officiellement, la commission a pour tâche de lancer une réflexion sur les dysfonctionnements de l'appareil judiciaire", ses résultats sont déjà "dans les cartons de la chancellerie", affirme-t-il. Pour lui, "le PS, en acceptant la présidence de cette instance (assurée par le député PS de l'Isère André Vallini) en viendra de facto à valider implicitement les projets gouvernementaux".

"Ces projets, on les connaît. Il s'agit, à partir de la stigmatisation du travail d'un juge d'instruction, bouc émissaire idéal, d'éviter de poser la question de l'énorme pression répressive que la droite sarkozienne a mise sur les tribunaux et les magistrats", écrit M. Montebourg.

Il dénonce "cette droite qui impose la détention provisoire à tout venant, devenue en quelque sorte un principe de précaution définitivement destructeur de l'innocence et contre laquelle nul n'ose plus s'élever" et la "justice d'abattage, pauvre et sous-administrée".

Selon lui, "en fond de décor, s'active un lobby prônant la suppression du juge d'instruction et la mise en place d'une procédure accusatoire à l'anglo-saxonne".

"La disparition du juge d'instruction indépendant des pouvoirs, quels qu'ils soient, et de la puissance des lobbies économiques est un rêve qui se présente à la portée de la main de la droite. Pourquoi ne se saisirait-t-elle pas de cette magnifique occasion?", conclut-il.

16 janvier 2006

Arnaud Montebourg est violemment opposé aux propositions de Sarkozy: «Il se prépare une dictature douce»

par Didier HASSOUX
QUOTIDIEN : samedi 14 janvier 2006

Député socialiste de Saône-et-Loire et partisan d'un régime parlementaire, Arnaud Montebourg estime que les propositions institutionnelles de Nicolas Sarkozy sont «dangereuses pour

la République

».

La Ve République

bis de Sarkozy est-elle au goût du promoteur de

la VIe République

que vous êtes ?

Ce qu'il cherche à obtenir, c'est un surcroît d'autorité pour le futur chef de l'Etat. C'est la concentration accrue de pouvoirs dans les mains d'un seul homme. C'est le renforcement de la dérive autoritaire du régime né de

la Ve République.

S'il met en oeuvre ses propositions, Sarkozy aggraverait la crise politique dans laquelle le pays est englué. Alors que le peuple a soif de délibérations et de démocratie, il répond concentration et autoritarisme. Ses propositions donnent le sentiment d'accorder au chef de l'Etat les pleins pouvoirs. Il se prépare à une dictature douce. C'est un retour aux heures les plus noires du bonapartisme du XIXe siècle qu'il nous promet. Le ministre de l'Intérieur a d'ailleurs déjà commencé : il passe son temps à attaquer les journalistes, les avocats et l'opposition. Les idées de Nicolas Sarkozy comme lui-même sont dangereuses pour

la République.

Votre sévérité tranche avec la mansuétude, voire l'approbation, de vos camarades socialistes à l'égard de ses propositions...

Le Parti socialiste n'a pas voulu traiter sérieusement la question du changement de régime. Du coup, il laisse la main à la droite. Les propositions du président de l'UMP, ce sont celles d'Edouard Balladur et celles de François Bayrou, président de l'UDF. Malheureusement, le PS se retrouve aujourd'hui en incapacité de leur répondre. Au congrès du Mans, François Hollande n'a pas voulu de

la VIe République.

Il se retrouve à voir courir notre parti derrière Nicolas Sarkozy. Un mois et demi après la faute du Mans, nous la payons. D'autant que le PS est le seul à gauche à refuser le passage à

la VIe République

: les Verts, les radicaux comme les communistes y sont favorables. Le PS doit s'employer maintenant à proposer aux Français de leur rendre le pouvoir. Plutôt que de se retrouver aux côtés de Sarkozy à promouvoir une dictature bon enfant qui mène le pays à l'aventure.

Qui, selon vous, peut incarner en 2007 cette VIe République ?

Celui ou celle-là ne s'est pas manifesté. A tous, j'ai envoyé mon dernier ouvrage (1). Tous m'ont répondu. A ce jour, c'est Ségolène Royal qui s'est montrée la plus intéressée par mes propositions. Sans pour autant dévoiler ses intentions.

(1) Réconcilier les Français avec la démocratie, coécrit avec Bastien François, éd. Odile Jacob.

13 janvier 2006

Sarkozy: la gauche dénonce une "dérive autoritaire"

jeudi 12 janvier 2006, 19h02

PARIS (AP) - "Dérive autoritaire", "fuite en avant dans le populisme sécuritaire": la gauche n'a pas eu de mots assez durs jeudi contre les propositions formulées par Nicolas Sarkozy lors de ses voeux en matière d'institutions ou d'immigration. Elle a égratigné au passage son bilan en matière de sécurité, l'appelant à plus de "modestie".

Partisan d'une VIe République primo-ministérielle, Arnaud Montebourg juge ainsi que les propositions institutionnelles du président de l'UMP "traduisent la dérive autoritaire et dangereuse du personnage". Le député socialiste l'accuse de vouloir "des facilités autoritaires supplémentaires pour pouvoir mener une politique ultralibérale" et appelle son parti à "s'opposer à cette aventure digne de Badinguet" (sobriquet donné à Napoléon III, NDLR).

C'est "un régime présidentiel à irresponsabilité garantie pendant cinq ans", a renchéri le député socialiste Henri Emmanuelli sur France-Info. "C'est une énormité", "tout cela est de l'improvisation, a une vocation gesticulatoire et médiatique, n'est pas censé et n'est pas réfléchi", a-t-il déploré.

Porte-parole du PS, Julien Dray fustige "une présidentialisation à l'extrême de la Ve République, là où l'évolution démocratique nécessiterait l'inverse". Dans la motion finale de son congrès du Mans, le PS se prononce en effet pour "une République nouvelle qui met le Parlement au coeur de la vie politique et qui rééquilibre les pouvoirs" entre le chef de l'Etat et le Premier ministre.

Chargée des questions de sécurité au PS, Delphine Batho montre du doigt pour sa part "le bilan le plus dramatique en terme d'augmentation des violences contre les personnes" (+4,97% en 2005 selon le bilan du ministère de l'Intérieur). "Le moment n'est pas à l'agitation autour d'énièmes propositions, mais à rendre des comptes des résultats sur lesquels il demandait à être jugé hier", réclame-t-elle, accusant Nicolas Sarkozy d'être "davantage préoccupé par lui-même et sa candidature que par la situation des Français".

De son côté, le PCF dénonce une "fuite en avant dans le populisme sécuritaire" et accuse le ministre de l'Intérieur de "chasser sur les terres de l'extrême droite". "Il stigmatise les migrants" en prenant des mesures "inhumaines", "met les jeunes en ligne de mire" avec la refonte de l'ordonnance de 1945 et instaure une "milice, sorte de police parallèle aux missions floues", fustige-t-il.

Enfin, la Ligue communiste révolutionnaire vilipende le futur projet de loi sur l'immigration. "L'objectif est la destruction de tous les maigres acquis de la lutte des sans-papiers" et de "piller les cerveaux et la main-d'oeuvre qualifiée des pays en voie de développement", dénonce-t-elle. La LCR appelle donc les partis de gauche, syndicats et associations à se mobiliser contre un texte "discriminatoire qui ne peut que développer la xénophobie". AP

sch/ljg/com/cr

12 janvier 2006

« Rénover, maintenant » veut être « l’anti-dépresseur de la gauche »

11 janvier 2006

« Rénover, maintenant », l’association créée au sein du PS le 10 décembre 2005 suite à la scission interne au NPS, ambitionne d’être « l’anti-dépresseur de la gauche, a affirmé l’un de ses fondateurs, le député Arnaud Montebourg, lors d’une conférence de presse mardi. « Le monde change, le capitalisme change, la droite change, l’UMP change. Malheureusement, il n’y a que le PS qui donne l’impression de ne pas changer », a affirmé à l’Assemblée nationale M. Montebourg, président délégué de l’association, tout en assurant de sa « totale loyauté au PS ».

« Rénover, maintenant » est issu du Nouveau PS (NPS), dont les autres dirigeants, Vincent Peillon, Henri Emmanuelli et Benoît Hamon, avaient approuvé la synthèse entre les courants au congrès du Mans, M. Montebourg se désolidarisant.

« Nous estimons que 80 % du NPS est en train de rejoindre « Rénover, maintenant » », a assuré M. Montebourg. Jugeant fantaisiste une telle affirmation, M. Hamon, interrogé par l’AFP, a argué que « si ce mouvement avait été capable de faire une démonstration de force, il l’aurait déjà faite ».

Estimant que la synthèse n’a été qu’« une sorte de réflexe conservateur », le député de Saône et Loire a plaidé pour que le PS ne se contente pas d’un message « minimaliste ». Selon lui, le projet du parti, préparé « dans une commission où siège l’ensemble des éléphants », risque de déboucher seulement sur « le plus petit dénominateur commun ». M. Montebourg n’en a pas moins « remercié » le premier secrétaire François Hollande de l’avoir nommé dans la commission du projet.

L’équipe nationale de l’association comprend notamment trois députés (Christian Paul, et Jean Launay, outre M. Montebourg) et l’ex-ministre des Droits de la femme Yvette Roudy. Le maire de Ris-Orangis Thierry Mandon est chargé du projet.

PARIS, 10 janvier 2006 (AFP)

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